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    Images mentales

    Lors des moments de stress dû à la peur, notre cerveau développe une image mentale. Il ne peut pas faire face au stress et cherche un moyen de sortir de la situation de stress, à la recherche d'une expérience positive (en tant qu'enfant, par exemple, pour susciter l'attention et l'intérêt de ses parents). Cette image mentale est stockée afin que nous n'ayons pas à développer une nouvelle image mentale à chaque fois dans des situations stressantes similaires. Dans une situation similaire, nous utiliserons donc toujours la même voie de sortie. C'est ainsi que nous développons des modèles de comportement.
    Ainsi, lorsqu'une situation cause du stress, nous ne réagissons généralement pas à la situation réelle, mais à l'image mentale que nous avons de cette situation basée sur nos expériences du passé.

    Interprétation de la réalité

    Les images mentales que nous avons développées sont devenues progressivement notre réalité, c'est-à-dire notre interprétation instinctive de ce qui est réel. Nous croyons que nous partageons la même réalité avec l’autre, alors que ces interprétations limitées de la réalité nous sont propres. Nous ne répondons pas à la réalité en tant que telle, mais à notre interprétation de la réalité constituée de nos images mentales. Ces conditionnements représentent nos «meilleures solutions», conçues pour faire face à une série de situations plus ou moins stressantes depuis notre naissance.

    Exemple 1

    Il s'agit d'un enfant unique de parents aisés, qui est plutôt solitaire et pas sûr de lui-même. Comme les parents avaient relativement peu de temps pour leur enfant, ils le surchargeaient de récompenses matérielles en guise de compensation. Le besoin social, qui est le besoin d'amitié et de relations sociales positives, était absent et remplacé par des compensations matérielles. Dans cette situation, une image mentale se forme dans laquelle le désir d'attention et d'amitié est obscurci et assimilé à l'intimidation à travers le matériel. L'amitié est devenue un conditionnement exigeant l'attention à travers les choses matérielles.

    Exemple 2

    En tant qu'enfant / adolescent, tu dois suivre un programme d'études difficiles, et pour y faire face, tu dois aller à la limite de tes capacités. Si tu réussis, la récompense suivra, à savoir la confirmation des parents. Cela devient alors l'image mentale: aller aux extrêmes pour être à la hauteur des attentes. Aller à la limite devient le but (le conditionnement) au détriment de soi-même.

    Un avenir identique?
    Cette «programmation» est constamment présente et prendra le dessus chaque fois que nous nous trouverons dans une situation de stress. Nous n'en sommes pas conscients et ne pouvons donc pas l'observer ou le modifier. Alors que nous continuons à réactualiser ces modèles du passé, nous continuons à construire un avenir identique à notre passé!

    Chaque fois qu'une situation de stress disparaît ou peut être complètement et efficacement résolue, un équilibre est retrouvé. Mais si le "sauvetage" ne peut être effectué correctement, l'état de tension persiste et provoque un dysfonctionnement du corps, que le blocage de l'action soit "réel" ou imaginé par la personne elle-même.

    La mémoire corporelle

    Des recherches dans le domaine de l'épigénétique (recherche sur l'effet des gènes sur le phénotype dans le développement d'un organisme, c'est-à-dire sur les changements héréditaires de la fonction des gènes sans changer la structure moléculaire de l'ADN) ont montré que tout ce qui fait partie de l'environnement, y compris les émotions, laisse des traces sur l'ADN et modifie la manière dont les gènes s’expriment.

    La phylogenèse - l'histoire de notre évolution - et l'ontogenèse - la croissance (changement de taille) et le développement (changement de forme) d'un organisme - montrent également que nous avons non seulement une mémoire dans notre tête, mais aussi dans notre corps.
    En tant qu'humains, notre existence commence par la fusion de deux cellules pour en former une qui se divisera puis passera par différentes étapes (du multicellulaire aux organes et des structures plus avancées aux humains adultes). Au cours de l'histoire, l'homme est devenu un être de plus en plus complexe en s'adaptant chaque fois à son environnement. Ainsi, l’appareil locomoteur a évolué pour ne plus dépendre d'un lieu de vie permanent, mais pour se déplacer vers un lieu plus propice à la survie, ou le système de thermorégulation pour assurer un fonctionnement optimal de notre physiologie, quelles que soient les conditions climatiques. Cette histoire évolutive fait partie de notre biologie. Par exemple, qui ne devient pas immédiatement tendu lorsqu'une ombre apparaît au-dessus de lui? C'est un réflexe instinctif, une relique d'un passé lointain où l'homme devait être attentif aux chutes de pierres ou à l'attaque des oiseaux de proie.

    Corps et émotion

    Les recherches du neuropsychiatre belge Jean Lerminiaux sur l'image mentale établissent un lien entre le corps et l'émotion à travers les compétences psychomotrices. La base des plaintes physiques est pratiquement toujours le stress émotionnel.

    Des études montrent également que tout état mental ou émotionnel correspond également à un état particulier du cerveau. Toute image présente au niveau mental entraîne une modification du tonus musculaire. Par exemple, l'IRM (imagerie par résonance magnétique) montre que les régions du cerveau d'un joueur de tennis sont les mêmes, peu importe le fait qu'il joue ou qu'il imagine le geste qu'il ferait en jouant.
    Une bonne cohérence est nécessaire entre la fonction mentale et la fonction organique si l'on veut éviter les écarts et les sources d'inconfort voire de maladie.

    L'élimination des blocages organiques par des techniques simples mais très ciblées permet un changement positif dans le processus psychologique: c'est la phase somato-psychique du traitement CSP®. Celle-ci est ensuite complétée par une courte psychothérapie pour libérer les sentiments (basée sur les travaux du Dr Jean Lerminiaux): c'est la phase psychosomatique. Lorsque la cohérence est rétablie dans les deux sens, des améliorations immédiates peuvent être observées dans la qualité de vie des clients, à la fois physiquement et psychologiquement.

    Curieux de savoir comment la CSP® peut vous aider ?